9 juillet 2008
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10:05
*Appel à un rassemblement du comité de défense de l'hôpital d'Alès jeudi
10 juillet, 18 heures, devant la Sous-préfecture*
Le Comité de défense de l'hôpital d'ALES est en lutte pour la défense du
service des urgences de l'hôpital public
La situation est plus complexe (et plus sournoise) que la fermeture de
tel ou tel service.
Elle est consécutive à l'accord donné par l'ARH il y a 2 mois à la
clinique privé (à but théoriquement non lucratif) sur la ville d'ouvrir
un service d'urgence 24h sur 24, mettant en concurrence celui public,
bien développé, compétent, et ayant le matériel nécessaire et celui en
voie de développement du privé.
Hors, il n'y a pas manifestement pas la place dans un bassin de 160 000
habitants de deux services d'urgence (type ancien SAU) (c'est confirmé
par la conférence des médecins urgentistes sur le département du Gard).
LA conséquences, sera le dégradation progressive du public, qui ayant
moins de passage verra ses moyens amputés par l'ARH.
Celà correspond à la seconde phase du projet sarkosien : les facilités
pour le privé concurrençant le public dans sa mission d'accueil des
urgences.
Ça n'a rien d'une politique cohérente en matière de santé : mais bien
une cohérence dans le développement du privé hospitalier avec le
développement devenu obligatoire d'avoir une complémentaire, les
cliniques pratiquant le dépassement systématique, (on pense d'ailleurs
que le but ultime pourrait être de vendre aux fonds de pension ou autre
générale de santé une clinique ainsi valorisée).
Un indice confortant notre analyse c'est l'attribution il y a quelques
mois à cette clinique d'une IRM FIXE, alors qu'elle était aussi demandée
par l'hôpital public, et la développement en deux ans de bâtiments
flambant neufs de cette clinique (après avoir absorbé deux petites
structures), le quasi équivalent du nouvel hôpital neuf sur la ville,
ayant le même nombre de lits et en gestation depuis 8 ans et qui sera
terminé dans 2 ans !!
10 juillet, 18 heures, devant la Sous-préfecture*
Le Comité de défense de l'hôpital d'ALES est en lutte pour la défense du
service des urgences de l'hôpital public
La situation est plus complexe (et plus sournoise) que la fermeture de
tel ou tel service.
Elle est consécutive à l'accord donné par l'ARH il y a 2 mois à la
clinique privé (à but théoriquement non lucratif) sur la ville d'ouvrir
un service d'urgence 24h sur 24, mettant en concurrence celui public,
bien développé, compétent, et ayant le matériel nécessaire et celui en
voie de développement du privé.
Hors, il n'y a pas manifestement pas la place dans un bassin de 160 000
habitants de deux services d'urgence (type ancien SAU) (c'est confirmé
par la conférence des médecins urgentistes sur le département du Gard).
LA conséquences, sera le dégradation progressive du public, qui ayant
moins de passage verra ses moyens amputés par l'ARH.
Celà correspond à la seconde phase du projet sarkosien : les facilités
pour le privé concurrençant le public dans sa mission d'accueil des
urgences.
Ça n'a rien d'une politique cohérente en matière de santé : mais bien
une cohérence dans le développement du privé hospitalier avec le
développement devenu obligatoire d'avoir une complémentaire, les
cliniques pratiquant le dépassement systématique, (on pense d'ailleurs
que le but ultime pourrait être de vendre aux fonds de pension ou autre
générale de santé une clinique ainsi valorisée).
Un indice confortant notre analyse c'est l'attribution il y a quelques
mois à cette clinique d'une IRM FIXE, alors qu'elle était aussi demandée
par l'hôpital public, et la développement en deux ans de bâtiments
flambant neufs de cette clinique (après avoir absorbé deux petites
structures), le quasi équivalent du nouvel hôpital neuf sur la ville,
ayant le même nombre de lits et en gestation depuis 8 ans et qui sera
terminé dans 2 ans !!